Après s’être fait tirer le portrait de manière classique,
les élèves récupèrent leur portrait, dessiné par leurs camarades
et appliquent la couleur à la manière des fauvistes.
Ces peintres du début du 20ème siècle ne peignent plus les choses telles qu’ils les voient mais telles qu’ils les ressentent.
Point de ton local donc, place à l’imagination, aux couleurs irréelles, à l’expression d’émotions.