Les sœurs de la Divine Providence

Le 14 janvier, nous commémorons l’anniversaire de l’ouverture de la première école de la Providence. Les élèves se souviennent et ont écrit un résumé de l’histoire de notre congrégation après avoir pris des notes en regardant la vidéo de l’histoire de notre congrégation.

Jean-Martin Moyë naît en 1730. Il est très pauvre et il veut devenir prêtre de Lorraine sa région natale. Son frère est déjà un curé nommé Jean-Jacques.

Plus tard, il ira travailler à Strasbourg et à Colmar.

Il réussit son séminaire à Metz et devient prêtre en 1754 à 24 ans. Très vite, il découvre la pauvreté du royaume de France. Il apprend que les garçons vont à l’école mais que els filles travaillent toute la journée dans les champs. Il rencontre Marguerite Lecomte qui partage les mêmes idées que lui et souhaitent que les filles aillent à l’école. Ensemble, ils créent des écoles pour les filles dirigées par des sœurs. On les appelle : « les sœurs de la Divine Providence. »

Très vite, il devient célèbre grâce à ses actes. Il décide de partir en Chine. Pendant ce temps, les problèmes s’accumulent à la Divine Providence. Il revient 13 ans plus tard.

Il meurt à cause d’une maladie très mortelle à cette époque : le typhus. Marguerite meurt en 1835.

Le sœurs se sortent des problèmes rencontrés par le fait qu’on ne voulait pas que les femmes travaillent.

Les sœurs existent encore dans nos cœurs car les gens qui font le bien sont de la République française. J’encourage des gens à prier pour ces personnes qui ont fait notre république.

Adam

Jean-Martin est originaire du petit village de Cutting en Lorraine. Enfant très intelligent, il s’intéresse très tôt à Dieu et aux pauvres. Son grand frère et sa mère s’occupent de son éducation scolaire et religieuse. Jean-Martin veut annoncer le Christ et il est ordonné prêtre le 9 mars 1754 à l’âge de 24 ans. Il est nommé à la paroisse de Sainte-Victoire de Metz.

Il est très proche des habitants et découvre que de nombreux enfants meurent et que la misère règne dans les campagnes voisines. Parce que les garçons sont les seuls à aller à l’école, Jean-Martin veut en ouvrir pour les filles avec l’aide de marguerite Lecomte qui sait lire et écrire. Grâce à cette petite école située dans une étable à Saint Hubert, d’autres écoles pour filles vont naître dans les environs. Le fait que les filles deviennent maîtresses d’écoles au lieu de devenir servantes fait peur au peuple. Après avoir interdit l’ouverture de nouvelles écoles, l’évêque revient sur sa décision.

Jean-Martin décide de poursuivre son œuvre et met son projet par écrit. Ce sera la première constitution de la congrégation. Il baptisera les maîtresses, sœurs de la providence, qui susciteront beaucoup de vocations chez d’autres jeunes filles qui les rejoindront.

Un deuxième projet conduit Jean-Martin à partir en Chine le 30 novembre 1771. Il reviendra en France treize années plus tard. Après avoir contracté le typhus, il meurt le 4 mai 1793. Après 50 années de travail, Marguerite meurt en 1835 à l’âge de 98 ans.

250 ans plus tard, les sœurs de la Divine Providence rayonnent dans le monde entier pour enseigner l’Amour de Dieu aux enfants. L’école Sainte-Anne a été bâtie grâce à Jean-Martin Moyë.

Lou

Tout commence en 1740 à Cutting. La famille Moyë vit dans cette commune en Lorraine. Le sixième enfant, c’est Jean-Martin qui est très éveillé. C’est son frère Jean-Jacques qui s’occupe de son éducation et sa mère qui lui enseigne la religion. A 15 ans, il entre au collège des Jésuites, puis à l’université épiscopale de Strasbourg. Jean-martin veut devenir prêtre : il désire donner sa vie à Dieu. Et le 7 mars 1754, il est ordonné prêtre.

Très vite, il est appelé dans les campagnes pour instruire et confesser les gens. Jean-Martin découvre la misère et pense qu’il faut aider les familles. Il apprend aussi que pendant que els garçons vont à l’école, les filles travaillent aux champs. Il veut ouvrir des écoles pour filles. Jean-Martin a une idée pour cela : il connaît une jeune fille, Marguerite Lecomte, qui travaille à l’usine. Elle accepte de devenir sœur et d’instruire les petites filles. Elle ouvre une école à Saint Hubert, un hameau près de Vigie. De plus en plus d’écoles ouvrent. Mais les nobles ne sont pas contents : leurs servantes vont devenir maîtresses d’école. Et quelques mois plus tard, l’évêque interdit à Jean-Martin d’ouvrir de nouvelles écoles. Mais pour ce dernier ce n’est qu’une étape et il est soutenu par ses proches. Puis, l’évêque revient sur sa décision : Jean-Martin a le droit d’ouvrir des écoles.

Mais, en secret, Jean-Martin nourrit une autre projet : partir en Chine. Il embraque sur un navire le 30 novembre 1771. Mais, une dizaine d’années plus tard, il contracte le typhus et meurt le 4 mai 1793;

Quelques années plus tôt, en 1780 à Molsheim, un prêtre nommé Louis Kremp se préoccupe lui aussi de l’éducation des filles. Il va fonder avec Madeleine Ehrart une véritable communauté. Les sœurs sont vite demandées par les municipalités d’Alsace. Mais voilà, la révolution arrive et les sœurs refusent de signer la nouvelle constitution : elles se voient chassées des écoles et doivent se cacher ou fuir parfois.

Quand Bonaparte arrive au pouvoir, les sœurs reviennent et vont au presbytère de Birdenime. Kremp a l’approbation des pouvoirs religieux et civils et ouvre de plus en plus d’écoles en alsace. Les sœurs sont très appréciées et elles veulent instruire les enfants.

La mort de Louis Kremp ne brise pas cet élan. Avant de mourir, il a confié la communauté à Ignace et Bruno Mercian. Ils changent beaucoup de choses : nouvel uniforme, nouvelle pédagogie. En 1819, Bruno acquiert le couvent de Ribeauvillé. A la mort de ce dernier, c’est Ignace qui dirige la congrégation. Il va écrire des manuels, ouvrir de nouvelles écoles et former de nouvelles sœurs.

Ces hommes et ces femmes nous ont légués un héritage précieux. Tous pendaient que l’ignorance était un mal et qu’il fallait la combattre. N’oublions jamais ce qu’ils ont fait.

Alice

La journée des fondateurs, c’est la 259 -ème année passée avec les école de la providence. C’est aussi une opportunité de les remercier car sans eux, nous ne serions pas là.

Voici un petit résumé de leur histoire :

Jean-Martin Moyë, un jeune garçon, se préoccupe de Dieu et des personnes pauvres. Il veut devenir prêtre, c’est décidé. Un jour, un peu plus tard, il rentre dans une église, son aventure commence…

Il devient prêtre :

« Vous ne pouvez servir Dieu et l’argent en même temps, dira-t-il. »

Bien après, il eut une idée : faire lire els filles ! Et il décida d’ouvrir des écoles. Une des voisines, Marguerite Lecomte, s’engagea à l’aider. Le 14 janvier 1752, avec l’aide de Marguerite et d’autres femmes, la première école de Jean-Martin ouvrit.

Il décida d’appeler cete école : l’école de la Divine Providence.

« Cela ne change rien et tout !, disait-il. »

Par la suite, une dizaine d’académie ouvrirent. Une longue histoire commença… L’école Sainte-Anne a été ouverte par ses sœurs. Maintenant, Madame Averseng a pris les rennes. Merci !

Manel

Au 18 -ème siècle, la vie est dure, les paysans sont très pauvres. Jean et Catherine eurent 7 enfants. Le sixième s’appelait Jean-Martin. Le 9 mars 1950, il devint prêtre. Il découvre la misère du peuple et apprit que beaucoup d’enfants mouraient sans être baptisés. Un jour, en parlant à un ami, il réalise que les garçons étudient mais que els filles travaillent aux champs. Il ouvrit alors des écoles pour que els garçons ET les filles apprennent. Un peu plus tard, Jean-Martin invita les sœurs à vivre à la campagne. Il les nomme les sœurs de la Providence.

Un jour, il décida de partir en Chine. Il ne reviendra que 1″ années plus tard. Pendant ce temps, beaucoup de femmes sacrifièrent leur vie pour apprendre aux jeunes filles pauvres du pays.

Ludivine

Cette histoire commence en 1740. Dans le village de Cutting, Jean-Martin est le 6ème enfant d’une grande famille. A 15 ans, il entre dans le collège des Jésuites. Puis, il intègre l’université épiscopale de Strasbourg et enfin le séminaire de Metz. Le 9 mars 1754, Jean-Martin est nommé prêtre à 24 ans.

Il est invité à prêcher dans les campagnes voisines. Il découvre la pauvreté et la misère des campagnes. Il apprend que les filles ne vont pas à l’école, Marguerite Lecomte qui sait lire et écrire va devenir maîtresse. A Saint-Hubert, elle ouvre une classe pour filles dans une vieille étable.

Un peu plus tard, l’évêque interdit à Jean-Martin d’ouvrir d’autres écoles. Mais, il revient sur sa décision. Les sœurs sont appelées les sœurs de la Providence.

Le 30 décembre 1771, il décide de partir pour la Chine. Il reviendra treize années plus tard. Le 4 mars mai 1793, il meurt à cause du typhus. Marguerite, après avoir travaillé cinquante ans à Saint Hubert. se retira à Porcieux où elle meurt en 1835 âgée de 98 ans.

L’histoire des sœurs de Ribeauvillé commence en 1780. A Molsheim, Louis Kremp pense qu’il faut instruire les jeunes filles, futures mères de la famille. Il réussit à regrouper autour de Madeleine Erhardt des jeunes filles : Barbe, Marie-Madeleine, Catherine… Il les appelle les pauvres sœurs.

La jeune fondation va vite se faire connaître. Malheureusement, la révolution arrive. Les pauvres sœurs sont chassées des écoles. Elles sont obligées de fuir en Suisse ou en Allemagne. Louis Kremp apprend alors la mort de Madeleine. Grâce à l’arrivée de Bonaparte au pouvoir, leur communauté peut revenir en France. Les écoles se multiplient en Alsace. En 1807, Sœur Barbe va représenter ses sœurs à Paris pour avoir l’accord définitif du pouvoir. Sœur Françoise est la première supérieure élue dans la maison mère à Sélestat. Le 2 janvier 1817, Louis Kremp meurt. Il confie la communauté à deux frères : Ignace et Bruno Mercian. En 1819, Bruno réussit à acquérir el couvent de Ribeauvillé. Avant sa mort, il confie la communauté à son frère qui ouvrira de nombreuses écoles.

Yoana