Mur de mots

En ce moment, on entend beaucoup parler des murs des mots… mais pourquoi des murs de mots ?


Le principe est de prendre plaisir à découvrir des mots. L’enfant peut voir,
entendre et comprendre autant de mots que possible. Le plaisir de lire engendre très souvent le plaisir d’écrire.

Comment ?
Le mur des mots doit être accessible aux élèves et l’on devrait pouvoir se
regrouper autour, les mots écrits dans une écriture suffisamment grande pour être lus par tous. Pour les plus jeunes, par ordre alphabétique, pour être utilisés facilement en production d’écrits.


En GS, nous avons un mur des mots pour travailler la mémorisation des nouveaux mots de vocabulaire. Il est affiché sur l’armoire par ordre alphabétique.

Les élèves peuvent ranger les mots avec l’illustration par ordre alphabétique. Une façon supplémentaire de les voir, de les revoir …
Un élève va l’apprécier et se souvenir de ce nouveau mot car c’est lui qui va
l’accrocher. Et il pourra le montrer à un copain d’une autre classe. Notre
objectif est maintenant de construire une progression avec les autres niveaux.


Au CP à chaque fois que nous rencontrons des mots difficiles en lecture, en histoire, en poésie, et même en maths, nous venons les ajouter après avoir
cherché les définitions dans le dictionnaire. Mais, nous ne mettons pas trop de mots car le but est de pouvoir les mémoriser et les réutiliser. Il est placé dans le couloir pour les 3 CP.

Au CM 1, le mur de mots a pour objectif aussi d’enrichir le lexique des enfants. 
Les utilisations que nous en avons: les élèves cherchent dans le dictionnaire la définition du mot proposé pour le mur. Donc, dans notre classe,  les mots sont écrits sans être définis à l’avance. Quelques élèves chercheront la définition dans le dictionnaire en Plan de Travail puis cette définition sera présentée à l’oral. Autre utilisation: à la fin de la période je leur demande de choisir au moins 3 mots du mur de mots pour écrire un petit texte.

Les maîtresses de Mat 5 (Delphine), CP2 (Corinne) et de CM1A (Madame Sansig-Lienhard)